jueves, agosto 07, 2008

Esfereïdor i fantàstic article de'n Slavoj Zizek vist a El País.

"El predominio de la violencia de justificación religiosa (o étnica) puede explicarse por el hecho de que vivimos en una era que se considera a sí misma post-ideológica. Como ya no es posible movilizar grandes causas públicas en defensa de la violencia de masas, es decir, la guerra, como nuestra ideología hegemónica nos invita a disfrutar de la vida y realizarnos, a la mayoría le resulta difícil superar su repugnancia a torturar y matar a otro ser humano. Las personas, en general, se atienen de forma espontánea a unos principios morales y matar a otra persona les resulta profundamente traumático. Por eso, para lograr que lo hagan, es necesario hacer referencia a una Causa superior que haga que las pequeñas preocupaciones por el hecho de matar parezcan una nimiedad. La religión y la pertenencia étnica desempeñan ese papel a la perfección. Por supuesto, hay casos de ateos patológicos que son capaces de cometer asesinatos de masas por placer, simplemente porque sí, pero son excepciones. La mayoría necesita que anestesien su sensibilidad elemental ante el sufrimiento de otros. Y para eso hace falta una causa sagrada."

4 comentarios:

Anónimo dijo...

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Colonisation et civilisation?

La malédiction le plus commune en cette matière est d'être dupe de bonne foi d'une hypocrisie collective, habile à mal poser les problèmes pour mieux légitimiser les odieuses solutions qu'on leur apporte.
Cela revient à dire que l'essentiel est de voir clair, de penser clair, entendre dangereusement, de répondre clair à l'innocente question initiale: qu'est ce en son principe que la colonisation? De convenir de ce qu'elle n'est point; ni évangélisation, ni entreprise philanthropique, ni volonté de reculer les frontières de l'ignorance, de la maladie, de la tyrannie, ni élargissement de Dieu, ni extension du Droit; d'admettre une fois pour toutes, sans volonté de broncher aux conséquences, que le geste décisif est ici de l'aventurier et du pirate, de l'épicier en grand et de l'armateur, du chercheur d'or et du marchand, de l'appétit et de la force, avec, derrière, l'ombre portée, maléfique, d'une forme de civilisation qui, à un moment de son histoire, se constate obligée, de façon interne, d'étendre à l'échelle mondiale la concurrence de ses économies antagonistes.

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Introduction au discours sur le colonialisme Aimé Césaire

Anónimo dijo...

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Poursuivant mon analyse, je trouve que l'hypocrisie est de date récente; que ni Cortez découvrant Mexico du haut du grand Téocalli, ni Pizarre devant Cuzco ( encore moins Marco Polo devant Cambaluc), ne protestent d'être les fourriers d'un ordre supérieur; qu'ils tuent; qu'ils pillent; qu'ils ont des casques, des lances, des cupidités; que les baveurs sont venus plus tard; que le grand responsable dans ce domaine est le pédantisme chrétien, pour avoir posé les équations malhonnêtes : christianisme = civilisation; paganisme= sauvagerie, d'où ne pouvait que s'ensuivre d'abominables conséquences colonialistes et racistes, dont les victimes devaient être les Indiens, les jaunes, les Nègres.

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Aimé Césaire.

Oscar dijo...

Estoy completamente de acuerdo contigo (i con Aimé Césaire) sobre lo que planteas acerca del colonialismo. Sin embargo, no acabo de entender la relación con los planteamientos de Zizek.

Cité este artículo de Zizek en lunaenelagua debido a que habla de temas que me parecen muy interesantes: postmodernismo (el vacío ideológico del que habla), poesia y violencia.

En tout cas, merci bien pour les citations et je vais bien chercher à propos de cet Aimé. :)

D'ailleurs, tu es qui?

Anónimo dijo...

La Ophélia de Grana.