Nul avant Agatha Christie n'avait su peindre de manière si déchirante la tristesse de la décrépitude physique, de la perte progressive de tout ce qui donne cens et joie à la vie ; et nul, depuis lors, n'était parvenu à l'égaler.
La possibilité d'une île, Michel Houellebecq.
Fayard. Paris, 2005
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