sábado, septiembre 03, 2005

Nul avant Agatha Christie n'avait su peindre de manière si déchirante la tristesse de la décrépitude physique, de la perte progressive de tout ce qui donne cens et joie à la vie ; et nul, depuis lors, n'était parvenu à l'égaler.

La possibilité d'une île, Michel Houellebecq.
Fayard. Paris, 2005

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